LA RÉSISTANCE A LA DÉGRADATION HUMAINE
SOLIDARITE
Elle est indispensable si l’on veut survivre dans les camps de concentration. Sans l’aide de leurs camarades, certains déportés affirment qu’ils n’auraient pas survécu. Les détenus ont su garder à l’esprit des valeurs de libertés propres à des régimes démocratiques.
Cette solidarité peut être aussi considérée par la fraternité.
Dans les camps certains actes de solidarité persistent.
Dans Sam Braun "On ne m’aurait pas cru, alors je me suis tu", Milo Adener, déporté à 17 ans, témoigne "Il est quasi impossible de vivre seul dans les camps, c’est alors qu’une certaine solidarité se forme entre les déportés."
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LA RESISTANCE
Pendant la Seconde Guerre mondiale plusieurs formes de résistance firent leur apparition.
Avant tout sachez que toute forme de résistance ou même de révolte était formellement interdit par les soldats nazis.
Quant à eux, ils avaient pour objectif de déshumaniser. « Se divertir » était une forme de résistance de par leur fabrication de jeu de société ou autre.
Faire rire était une autre forme de résistance pour ces déportes, puisque tous les sentiments de satisfaction s’avéraient être une forme de résistance face au concept de déshumanisation nazi.
